Lecture aux oubliettes : décryptage des experts

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Une jeune femme en pleine lecture

La lecture n’est plus à la mode. Point besoin d’être un érudit pour s’en rendre compte. La technologie et la digitalisation de l’information ont pris un net ascendant sur l’agréable sensation de toucher les pages d’un livre. L’addiction aux téléphones intelligents a mis à mal le plaisir qu’on a à renifler l’odeur particulière d’un livre neuf nouvellement acheté. Anna Bilama BERTE, une blogueuse ivoirienne, dans un article intitulé Le livre, ce trésor abandonné  a d’ailleurs décrit ce constat qui, apparemment, n’est pas une exclusivité béninoise.  Article de Anna Bilama à lire ici.

Mais quand on a fini de faire ce constat que j’évite de qualifier, il importe de trouver des approches de solutions pour renverser cette tendance. Ne rien faire revient à condamner la future élite à maltraiter la lange française. A défaut d’instaurer une politique qui priorise nos langues locales, il est important d’apprendre à parler de la plus belle des manières une langue qui constitue un reliquat de notre passé colonialiste. Et bien entendu, la lecture est un élément contributif fondamental à  ce fait.

C’est pour apporter ma pierre à cette correction que j’ai réalisé un mini-magazine sur le désamour des élèves et écoliers pour la lecture. Cette production sonore a connu la contribution de personnalités importantes du microcosme littéraire béninois.

Je vous laisse plutôt découvrir!

 

 

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